Objet singulier, poésie aux affinités exploréennes, libre et voyageuse,
véhiculant le poids d’une quotidienneté joliment sublimée et lourde-ment située. Dans « Démonologie de jardin », Guy Debord rencontre
Claude Gauvreau dans une taverne du Vieux-Hull où un hyperréa-lisme est poussé jusqu’à l’absurde, une plongée en apnée jusqu’aux
profondeurs du fantastique ordinaire. Le langage est débordé,comme l’oppressante expérience du monde policé. On passe pognerde quoi au dépanneur de l’âme, pis on s’enfarge dans l’évasion.
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