Dans cet essai, Benoit Doyon-Gosselin pose un regard sur sa ville d’adoption, Moncton, « qui s’est inventée en français ». Il identifie dans son ouvrage trois Moncton interdépendants : le territoire physique, la ville telle qu’imaginée par les artistes et celle vécue par l’auteur au quotidien.
Moncton mentor : géocritique d’une ville s’intéresse ainsi, selon une triple perspective, à la place des francophones dans cette ville bilingue devenue capitale culturelle de l’Acadie. Grâce à la géocritique, une théorie de la spatialité, Doyon-Gosselin étudie l’interaction entre les espaces et la communauté francophone et se penche sur l’impact des artistes sur le quotidien des Monctoniens.
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