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Formé en 2013, Entrepreneurs du commun est un collectif qui réunit des artistes, historiens de l’art, commissaires, philosophes et chercheurs avec l’objectif d’ouvrir un espace de réflexion et d’expérimentation sur l’hantologie monu mentale et les spectres de la liberté. Ses membres fondateurs incluent Érik Bordeleau, Mélanie Boucher, Michel de Broin, Nathalie Casemajor, Gregory Chatonsky, Dalie Giroux, Michael Nardone, François Lemieux, AndréLouis Paré, JeanMichel Ross, Stefan StLaurent, Bernard Schütze et Adam Szymanski.
Érik Bordeleau
Érik Bordeleau est chercheur au SenseLab (Université Concordia) et collabore à l’Economic Space Agency (eco nomicspace.agency). Il est l’auteur de Foucault anonymat (Le Quartanier, 2012, récipiendaire du prix SpiraleEvaLegrand 2013) et de Comment sauver le commun du communisme ? (Le Quartanier, 2014). Son travail s’inscrit principalement à l’intersection de la philosophie politique, de la théorie des médias, du cinéma et des arts, avec un intérêt marqué pour le tournant spéculatif et le renouveau de la question des possibles dans la pensée contemporaine. Érik Bordeleau est membre du collectif Entrepreneurs du commun.
Mélanie Boucher
Depuis 2013, Mélanie Boucher est professeure à l’École multidisciplinaire de l’image de l’Université du Québec en Outaouais où, à titre d’historienne de l’art et de muséologue, elle est appelée à se prononcer sur les relations entre l’art et le musée. De 2003 à 2013, elle a mené divers travaux de recherche en conservation, entre autres pour le Musée national des beauxarts du Québec, et œuvré à titre de com missaire indépendante. En 2014, elle publiait La nourriture en art performatif. Son usage, de la première moitié du 20e siècle à aujourd’hui. Son intérêt pour l’art performatif l’a amenée à orienter ses recherches sur le tableau vivant en art contemporain. Dans le cadre du Groupe de recherche et réflexion CIÉCO : Collections et impératif évènementiel/ The Convulsive Collections, Mélanie Boucher poursuit éga lement des recherches sur les usages évènementiels des collections muséales.
Michel De Broin
Depuis près d’une vingtaine d’années, Michel de Broin appro fondit une pratique transdisciplinaire en développant un voca bulaire visuel en constante expansion. Pièce par pièce, les objets qu’il met en jeu sont universellement reconnaissables, bien que leur comportement déjoue les fonctions et usages que l’on tient pour acquis. Les préoccupations inhérentes à sa démarche exercent une grande fascination du fait que l’artiste réussit à établir des relations inédites qui nourrissent un questionnement constant. Les objets remodelés qu’il nous propose laissent entrevoir des mondes de possibilités concrètes. Michel de Broin a reçu le prix Sobey en 2007, et le Musée d’art contemporain de Montréal lui a consacré une exposition bilan en 2013. Il vit et travaille à Montréal.
Edith Brunette
Édith Brunette conjugue pratique artistique et recherche théorique. L’une comme l’autre s’intéressent aux discours – notamment dans le champ des arts –, à ce qu’ils révèlent des forces et des jeux politiques à l’œuvre. Ses projets récents portent entre autres sur la vidéosurveillance (Caméraroman, 2011), la prise de parole en période de crise sociale (Consen- sus, 2012) et l’agentivité politique des artistes (Faut-il se couper la langue ?, 2013, et Cuts Make the Country Better, 2015, en collaboration avec François Lemieux). Ses projets ont été présentés dans différents centres d’art et galeries au Canada et en France. Auteure et chercheure, elle publie régulièrement dans des revues et des ouvrages sur l’art.
Nathalie Casemajor
Nathalie Casemajor est professeurechercheure à l’INRS – Centre Urbanisation Culture Société (Montréal). Ses travaux portent sur l’action culturelle, la mobilisation citoyenne et les pratiques numériques. Elle est coordonnatrice du Groupe de recherche sur la médiation culturelle et membre de la Chaire FernandDumont sur la culture. Elle a récemment mené à bien un projet sur la présence de la culture et des savoirs des Premières Nations dans Wikipédia et codirigé un ouvrage collectif intitulé Expériences critiques de la médiation culturelle (2017, PUL).
Rebecca Clare Dolgoy
Chercheure postdoctorale, Rebecca Clare Dolgoy partage son temps entre Berlin et Ottawa. Ses travaux portent sur la mémoire culturelle du patrimoine bâti en milieu urbain. Elle enseigne actuellement à l’Université Carleton.
Pour en savoir plus sur ses projets, veuillez consulter le site rebeccaclaredolgoy.com.
Bojan Fajfrić
Bojan Fajfrić est né en 1976 à Belgrade. En 1995, il quitte la Yougoslavie pour effectuer des études en arts visuels aux PaysBas. Diplômé de l'Académie Royale de la Haye, il a bénéficié d’une résidence d’artiste à la Rijks Academy, à Amsterdam, et a participé à plusieurs expositions et festivals, notamment La Triennale – Intense proximité, au Palais de Tokyo à Paris ; Theta Rhythm, au Baltic Centre for Contem porary Art à Gateshead ; 1966 | Constellations Gaur | 2016, au San Telmo Museum à San Sebastian ; STEM TERUG ! VOTE BACK !, à De Appel à Amsterdam ; The Pleasure of Love, au 56e Salon d’octobre de Belgrade ; au Festival international du film de Rotterdam ; au Festival international du courtmétrage d'Oberhausen ; au Festival international du film de Vienne ; à Doc Leipzig ; au Festival du film documentaire Tempo à Stockholm ; aux Rencontres Internationales Paris/ Berlin/ Madrid ; et au Festival Impakt à Utrecht. Bojan Fajfrić vit et travaille à Amsterdam.
Emmanuel Galland
Emmanuel Galland travaille comme artiste, commissaire et consultant en culture et communication. Formé en arts plastiques et en histoire de l’art à l’Université de Montréal, il a entamé sa carrière en photographie à la fin du XXe siècle (Mois de la Photo à Montréal, Centre CLARK, Galerie B312, Séquence, VU, Musée d’art contemporain de Montréal, Musée national des beauxarts du Québec). Il a reçu le Prix Pierre Ayot (AGAC et Ville de Montréal) et la Bourse Duchamp Villon (Centre Plein sud). Ses œuvres figurent dans plusieurs collections publiques et privées. En parallèle, il développe des projets de commissariat, dont Rituel festif – Portraits de la scène rave à Montréal (19972000), Les Bricolos (1998), PEUT MIEUX FAIRE – Cahiers d’exercices (20092016), STATUER–Les figures du socle (2017 en cours). Impliqué à divers titres auprès d’OBNL culturelles (Centre CLARK, MUTEK, revue ESPACE) au fil du temps ; il participe à plu sieurs comités et jurys des conseils des arts. Conseiller, formateur ou mentor, il offre un accompagnement créatif et professionnel à plusieurs artistes.
Clément De Gaulejac
Artiste et auteur, Clément de Gaulejac vit à Montréal. Il a exposé entre autres à VOX (Les naufrageurs, 2015) et au Centre Skol (Motifs raisonnables, 2013) à Montréal. Aux éditions du Quartanier, il a publié les titres Les artistes (2017), Grande École (2012) ainsi que Le livre noir de l’art conceptuel (2011) ; et aux éditions de la Mauvaise tête, Tailleurs d’histoires (2015) et Les cordons de la bourse (2014).
Steve Giasson
Steve Giasson est un artiste conceptuel qui utilise une grande variété de formes et de médiums (écriture conceptuelle, performance, installation, vidéo...) afin de transgresser les genres et interroger leurs limites. Les notions romantiques d’authenticité, d’autorité et d’originalité sont mises à mal dans sa pratique engagée qui ne ménage ni les emprunts à la vie quotidienne ni les références à l’histoire de l’art – entre hommage et outrage – dans un effort de démythification du processus créateur et de la figure de l’artiste. Steve Giasson poursuit actuellement un doctorat en études et pratiques des arts à l’UQÀM. En 2015, il s’est vu décerner le prix de La Vitrine culturelle, remis à un artiste émergent, et a obtenu une mention du Cirque du Soleil dans le cadre de l’événement Art Souterrain. Il vit et travaille à Montréal.
Dalie Giroux
Dalie Giroux enseigne la pensée politique à l’Université d’Ottawa depuis 2003. Ses recherches proposent une théorie politique et un plan d’expérimentation interdiscipli naire des formes d’articulation entre l’espace, le langage et le pouvoir dans le monde contemporain. Elle a écrit sur le poststructuralisme, l’histoire des idées, le théâtre, l’univer sité, la territorialité, les questions indigènes, la colonisation et la violence d’État.
Milutin Gubash
Né à Novi Sad, en Serbie, Milutin Gubash vit à Montréal depuis 2005. Son travail a été présenté au Canada, aux ÉtatsUnis et en Europe. Il a notamment fait l’objet d’une exposition au Musée d’art contemporain de Montréal en 2007 et d’une rétrospective coproduite par six institutions canadiennes en 20112013 (Rodman Hall Art Centre, 2011 ; Carleton University Art Gallery, 2012 ; KitchenerWaterloo Art Gallery, 2012 ; Southern Alberta Art Gallery, 2012 ; Musée d’art de Joliette, 2012 ; et Fonderie Darling, 2013).
Sa pratique englobe la photographie, la vidéo et la perfor mance et implique souvent la participation de sa famille et de ses amis, appelés à incarner une version d’euxmêmes dans des feuilletons maison, des réinterprétations historiques et des pièces de théâtre improvisées. Par des moyens simples et des gestes souvent absurdes, Gubash remet en question les suppositions qui soustendent notre récit identitaire, notre histoire et notre environnement. En 2016, il a occupé le Studio du Québec à Paris, octroyé par le Conseil des arts et des lettres du Québec.
Andrew Herscher
Andrew Herscher est membre fondateur de plusieurs groupes de recherche activistes, dont People of Detroit Community Research Collective, Detroit Resists et Commune Research Commune. Ses recherches portent sur l’architecture de la violence politique, la migration et les déplacements ainsi que la résistance et l’autodétermination à travers le monde. Herscher signe entre autres les ouvrages Violence Taking Place: The Architecture of the Kosovo Conflict (Stanford University Press, 2010), The Unreal Estate Guide to Detroit (University of Michigan Press, 2012) et Displacements: Archi- tecture and Refugee (Sternberg Press, 2017). Il est actuelle ment professeur agrégé à l’Université du Michigan.
Peter Hodgins
Peter Hodgins est professeur agrégé à la School of Indige nous and Canadian Studies de l’Université Carleton. Ses recherches s’intéressent à la politique de la mémoire cultu relle au Canada.
Sheena Hoszko
Sculpteure, organisatrice antiprison et allochtone, Sheena Hoszko vit et travaille à Tio'tia:ke (Montréal), sur le territoire des Kanien'kehá:ka. Dans sa pratique, inspirée des expé riences de détention et militaires de membres de sa famille, elle explore la dynamique du pouvoir en jeu dans les sites géographiques et architecturaux. Hoszko a effectué des études à l’Université d’art et de design EmilyCarr et est titulaire d’une maîtrise en sculpture de l’Université Concordia, dans le cadre de laquelle elle a reçu le soutien du CRSH pour ses recherches sur le féminisme et le postminimalisme. Elle a présenté des expositions individuelles, entre autres, au Centre Clark et à La Centrale à Montréal ; à A Space à Toronto; à Artspace à Peterborough; à The New Gallery à Calgary ; à la Forest City Gallery à London, en Ontario ; et à la Blackwood Gallery à Mississauga. Elle est également passionnée de sciencefiction.
Marie-Hélène Leblanc
Depuis 2015, MarieHélène Leblanc occupe le poste de directrice de la Galerie UQO à l’Université du Québec en Outaouais. Elle a aussi été directrice générale du centre d’artistes Espace Virtuel à Chicoutimi (désormais BANG) et directrice artistique du centre de production DAÏMÕN à Gatineau. À titre de commissaire, elle a organisé une vingtaine d’expositions présentées dans divers lieux au Québec, au Canada et en Europe. MarieHélène Leblanc est candidate au doctorat en études et pratiques des arts à l’Université du Québec à Montréal. Ses recherches portent sur les rappro chements entre l’histoire racontée et le rapport au temps dans les pratiques contemporaines qui traitent des guerres depuis 1990. En 2013, elle recevait la bourse JeanClaude Rochefort pour le commissariat d’art contemporain décernée par la Fondation de l’UQÀM.
Thierry Marceau
Thierry Marceau a grandi à Oka. Il a terminé des études de maîtrise en arts visuels et médiatiques à l’Université du Québec à Montréal. Ses performances, ses vidéos, ses photographies et ses installations carburent à la mémoire collective, aux images populaires, aux forts personnages, aux costumes, aux spectacles... Vous l’aurez remarqué si vous étiez à VIVA ! Art+Action en 2006 et en 2009, au Centre Clark ou au ElvisFest de Brantford en 2007, au Théâtre Plaza, à la Galerie de l’UQÀM ou à la Nuit Blanche de Toronto en 2008, aux funérailles de Michael Jackson à L.A. en 2009, au Mountain Standard Time Performative Art Festival (M: ST) de Calgary en 2010, au Gala des arts visuels en 2011 ou si vous avez vu le premier 1% performatif au 222, à Montréal (20122016).
André-Louis Paré
Depuis décembre 2013, AndréLouis Paré est directeur et rédacteur en chef de la revue ESPACE art actuel, éditée à Montréal. À titre de critique et théoricien de l’art, il a publié plus d’une centaine d’articles dans diverses revues québé coises consacrées à l’art contemporain, ainsi que des textes dans plusieurs opuscules et catalogues. Il a cosigné trois expositions collectives qui ont été présentées au Québec et en France, et dont la plus récente, intitulée F E U, a été présentée à Montréal au printemps 2018. Il est membre de AICA Canada et de Transit, un collectif de critiques et de commissaires indépendants. Jusqu’en juin 2016, il était professeur de philosophie au Cégep AndréLaurendeau à Montréal.
Projet EVA (Étienne Grenier et Simon Laroche)
Projet EVA est un collectif artistique fondé en 2003 dans le but de créer des œuvres critiques, expérimentales et transgressives en art numérique. Ses installations et ses performances comprennent des éléments robotiques, élec troniques, vidéo et audio, et touchent aux thèmes de la perte et de la restriction. Il porte une attention particulière à la question des relations entre les individus, les systèmes informatiques et leurs extensions physiques. L’exploration des moyens technologiques de déprogrammation des per ceptions est au centre de la production du collectif, dont le travail a été présenté en Amérique du Nord et du Sud, en Asie, en Europe ainsi qu’au MoyenOrient.
Simon Laroche est artiste et concepteur en médias interactifs. Il enseigne les arts électroniques à l’Université Concordia et collabore avec des créateurs du milieu du théâtre, de la danse, de la mode et du cinéma. Étienne Grenier œuvre dans le domaine de la culture numérique. À titre de concepteur multimédia, il a collaboré à divers projets dans le champ de l’architecture, du théâtre, de l’éclairage, de la danse et de la vidéo. Il a également enseigné à l’École des médias de l’UQÀM.
Nicolas Rivard
Nicolas Rivard privilégie une approche interdisciplinaire alliant l’art d’intervention, la performance et l’art conceptuel. Ses principaux centres d’intérêt, inspirés de l’actualité poli tique, sociale et culturelle, portent sur les nouveaux lieux et formes de l’art actuel comme moteurs de transformation sensible de l’espace social et des interactions qui s’y jouent. Titulaire d’une maîtrise en histoire de l’art et auteur indépen dant, Rivard s’intéresse aux formes variées de l’art d’inter vention et aux initiatives d’appropriation citoyenne.
Rosa Iris R. Rovira
Rosa Iris R. Rovira détient un baccalauréat en sciences sociales, avec une concentration en communication de l’Université du Québec en Outaouais. Également formée en histoire de l’art, Rosa Iris a travaillé comme assistante de recherche pour le projet Espace public de la mémoire. Étude de la controverse sur le Monument aux victimes du communisme (FRQSC). Elle a également été wikipédienne en résidence à Bibliothèque et Archives Canada.
Bernard Schütze
Bernard Schütze est critique d’art et commissaire indé pendant. Ses écrits ont été publiés dans plusieurs revues d’art, catalogues d’expositions et monographies d’artistes. Il a prononcé des conférences dans le cadre de plusieurs évènements artistiques, principalement au Canada et en Europe. D’origine allemande, il vit et travaille à Montréal.
Frank Shebageget
Natif du NordOuest de l’Ontario, Frank Shebageget (Ojibway) réside présentement à Ottawa. Son travail d’installation porte sur la géographie du bouclier canadien et sur les qualités esthétiques de divers matériaux du quotidien. Il recourt à la répétition pour explorer les tensions entre la production, la consommation et l’économie de la beauté, souvent en jouant avec l’incongruité de la production de masse par rapport à l’objet artisanal. Diplômé de l’Ontario College of Art (aujourd’hui l’ÉADO) en 1996, Shebageget a obtenu une maîtrise en arts visuels de l’Université de Victoria en 2000.
Dominique Sirois
À travers sa pratique caractérisée par un large éventail de médiums (sculpture, vidéo, dessin et image numérique), Dominique Sirois crée des espaces mentaux inspirés de constructions sémiotiques faites de liens et d’analogies comportant des références économiques, esthétiques, archéologiques et numériques. Son travail a été diffusé dans de nombreuses galeries au Canada, dont au Centre CLARK et à Latitude 53. Sirois a réalisé plusieurs projets et résidences à l’étranger, notamment au Center for Contem porary Arts (Glasgow), au Couvent des Récollets (Paris) et à Hangar (Barcelone). Elle a par ailleurs créé plusieurs projets en collaboration avec l’artiste Grégory Chatonsky, présentés notamment au MOCA de Taipei, au CDA EnghienlesBains, au Unicorn Center for Arts à Beijing, au Mois de la Photo à Montréal et à iMAL à Bruxelles. Elle vit et travaille à Montréal.
Stefan St-Laurent
Artiste et commissaire né à Moncton, au NouveauBrunswick, Stefan StLaurent vit et travaille à Gatineau au Québec. Il a été commissaire invité du Symposium international d’art contemporain de BaieSaintPaul en 2010 et 2011. De 2002 à 2011, il était commissaire de la Galerie SAW Gallery, et depuis 2010, il est professeur auxiliaire au Département des arts visuels de l’Université d’Ottawa. Ses œuvres ont été présentées au Centre national de la photographie à Paris, à Edsvik Konst och Kultur à Sollentuna, en Suède, à YYZ à Toronto, à Western Front à Vancouver et au Musée des beauxarts de la NouvelleÉcosse. Il a été commissaire et programmateur pour de nombreux organismes et festivals, dont le Lux Centre à Londres, la Cinémathèque québécoise à Montréal, le Festival international du cinéma francophone en Acadie à Moncton, Les rencontres internationales Vidéo Arts Plastiques en BasseNormandie, ainsi que Pleasure Dome, le Images Festival of Independent Film & Video et Vtape à Toronto. Il a été directeur du centre d’artistes AXENÉO7 à Gatineau.
Guillermo Trejo
L’artiste mexicanocanadien Guillermo Trejo vit à Ottawa. Il a obtenu un baccalauréat spécialisé en arts d’impression à l’École nationale de peinture, sculpture et gravure de Mexico avant de s’installer au Canada en 2007. Son expérience de la distance et en tant qu’immigrant influencent depuis sa pratique. Il possède aujourd’hui une maîtrise en arts visuels de l’Université d’Ottawa et s’implique activement dans la communauté artistique. Ses œuvres ont fait partie d’expo sitions à la Galerie d’art d’Ottawa et à la Galerie Saw Gallery, ainsi qu’à plusieurs centres d’artistes autogérés au pays, de même qu’en Europe et au Mexique. Trejo a effectué des travaux de recherche pour le Musée des beauxarts du Canada. Il est également professeur à l’École d’art d’Ottawa.
Étienne Tremblay-Tardif
Étienne TremblayTardif détient un baccalauréat en études cinématographiques et histoire de l’art de l’Université de Montréal, ainsi qu’un baccalauréat et une maîtrise en arts visuels de l’Université Concordia. Ses recherches et sa pra tique matérielle traduisent son intérêt pour la densité et la complexité de l’espace social, la théorie critique et les pratiques de l’installation en art visuel. Les notions d’in dexation, d’abstraction, de performativité, d’iconoclasme et de commémoration encadrent son travail axé sur l’histoire politique, l’architecture comme infrastructure idéologique ainsi que l’imprimé dans le champ de l’information et dans la culture matérielle. Il enseigne les arts visuels depuis 2015, entre autres à l’Université Concordia, à l’Université de Toronto, au Collège Montmorency, au Collège de Valleyfield et au Cégep de Chicoutimi.
Anne-Marie Trépanier et Alexandre Piral
Des études de sciences politiques et d’histoire de l’art mènent Alexandre Piral à une pratique interdisciplinaire mêlant écri ture et action. Il s’implique au sein de différents évènements en art contemporain, collabore à la réalisation de publications et œuvre au quotidien à l’éducation et la médiation en milieu muséal. Monuments aux victimes de la liberté est sa première participation à une exposition collective. Anne-Marie Trépanier s’intéresse au langage ainsi qu’aux notions de lecture et d’écriture. Ses projets interrogent les systèmes de représentation de l’information et les rapports entre le politique et l’affect. À travers des activités d’édition, de traitement d’images, de traduction et d’installation, elle développe des formes narratives qui évoquent la produc tion, la diffusion et la préservation du savoir. Son travail a notamment été présenté dans le cadre de Beyond Spec tacle – Residency (Gold Saucer Studio, Vancouver), Partage Montréal (La Centrale, Montréal) et Monuments aux victimes de la liberté (AXENÉO7, Gatineau).